LES PERSONNES SÉROPOSITIVES FACE AUX DISCRIMINATIONS

21% des personnes vivant avec le VIH se sont déjà vu refuser une consultation médicale*. Un quart des discriminations déclarées par les personnes séropositives ont lieu dans le milieu médical. Ces discriminations peuvent prendre des formes diverses : refus de soins, traitements différenciés, non-respect de la confidentialité ou du secret médical, attitudes humiliantes etc.

*Etude Cemka Vieillir avec le VIH, 2024

Une personne vivant avec le VIH, sous traitement et avec une charge virale indétectable, ne transmet plus le virus même sans préservatif lors des rapports.
Ce message, porté haut et fort par nos militants-es, est redoutable contre la sérophobie et les discriminations. En menant la vie dure aux idées reçues, nous pouvons adoucir le quotidien des personnes séropositives et encourager le dépistage.

65% des français-es se sentirait gênés-es d’avoir un rendez-vous amoureux avec une personne vivant avec le VIH.

Piqûre de rappel : le VIH ne se transmet pas en embrassant quelqu’un ou en buvant dans le même verre. De plus, une personne séropositive sous traitement avec une charge virale indétectable ne transmet pas le virus ! À travers des campagnes de communication célébrant la diversité des couples et des manières de s’aimer, AIDES lutte contre les préjugés dont souffrent les personnes séropositives au VIH et l’impact qu’ils peuvent avoir sur leur vie sentimentale et sexuelle.
*source : étude Harris Interactive de 2020

C'est vrai ! Ce chiffre* fait état d’une sérophobie latente dans le monde du travail. Plus d'un français sur 10 continue de se sentir mal à l'aise à l'idée de cotoyer des personnes séropositives**. A travers l’ensemble de ses actions, AIDES vise à changer le regard de la société sur le VIH/sida et les personnes séropositives.

*Source : étude Harris Interactive de 2020
**Source : étude Ifop, 2024 *source : étude Harris Interactive de 2020