CONTRE LE VIH ET LA SÉROPHOBIE,

S’INFORMER C’EST DÉJÀ AGIR

Malgré les traitements très efficaces, on ne guérit pas du VIH. Le VIH a un impact sur l'organisme : l'inflammation chronique due au virus peut favoriser l'apparition de certaines maladies dont les cancers.

AIDES travaille avec des professionnels de santé (gynécologues, psychologues, médecins infectiologues) qui proposent gratuitement des consultations et un suivi, permettant à des personnes en situation de précarité et souvent exclues du système de santé, d’accéder aux soins dont elles ont besoin.

Être séropositif au VIH et avoir le sida sont deux choses différentes.
Le VIH est le virus responsable du sida, stade ultime de la maladie en absence de traitement contre le virus. Aujourd'hui, la "phase sida" n'est plus ni définitive ni inéluctable grâce à l'accès et la mise sous traitements antirétroviraux (ARV) efficaces.

Par son plaidoyer, AIDES se bat pour un accès universel aux traitements. Nous faisons par exemple pression sur le gouvernement pour faire respecter la loi contre l’expulsion des étrangers malades et permettre aux personnes migrantes séropositives de se faire soigner.

Les secrétions sexuelles constituent un liquide contaminant et les « micro-lésions » présentes dans la bouche sont une porte d’entrée possible pour le virus.
Pour rappel, les liquides contaminants sont : les secrétions sexuelles (sécrétions vaginales, liquide pré-séminal et sperme), le lait maternel et le sang.

Pour réduire le nombre de contaminations, AIDES mène chaque année des campagnes de prévention et de sensibilisation à destination du grand public.

Sous traitement, une personne séropositive ne transmet plus le virus.
Alors si toute personne séropositive était dépistée et traitée correctement, la transmission du virus serait immédiatement enrayée, et l’épidémie s’éteindrait en quelques années !

Nous savons aujourd’hui comment mettre fin à l’épidémie de VIH, ce n’est plus qu’une question de moyens financiers et de volonté politique.

Sous traitement, une personne séropositive ne transmet plus le virus.
Alors si toute personne séropositive était dépistée et traitée correctement, la transmission du virus serait immédiatement enrayée, et l’épidémie s’éteindrait en quelques années !

Nous savons aujourd’hui comment mettre fin à l’épidémie de VIH, ce n’est plus qu’une question de moyens financiers et de volonté politique.

81% des ressources de AIDES servent à financer les actions de AIDES : de la prévention et sensibilisation à la réduction des risques, au soutien des personnes vivant avec le VIH ou une hépatite, ou encore la lutte contre les discriminations et la défense des droits.

Les dons issus de la générosité du public représentent 85% des ressources privées de l’association (soit 17,9 M€ en 2018) et sont donc essentiels au maintien de ses actions pour mettre fin à l’épidémie !